Dans une note datant du 10 septembre 2020, l’Office de la protection du citoyen (OPC), dénombre les actes qui ont des conséquences négatives sur la reprise des activités scolaires depuis sa reprise et condamne ces actes qui constituent des violations du droit à l’éducation et de protection des enfants, garantis par la Constitution haïtienne et la convention relative aux droits de l’enfant.
Parmi ces mouvements: le lundi 7 septembre, plusieurs élèves et enseignants ont été blessés suite à l’affrontement entre écoliers au moment où les protestataires tentaient de relâcher de force l’école Divine Miséricorde aux Gonaïves.
Toujours concernant ces mouvements, les affrontements entre groupes armés dans le quartier de Bel-Air et de bas Delmas ont paralysé le fonctionnement des écoles tant publiques que privées dans ces zones.
L’Office de Protection du citoyen invite le ministère de l’Éducation nationale et de la formation professionnelle (MENFP) à trouver une entente avec le syndicat des enseignants en vue de favoriser la présence des professeurs dans les écoles publiques et les lycées.
Jeff Jean Joseph