La Direction centrale de la police judiciaire a apporté un demanti formel aux déclarations de Joana Dorceus qui a avancé que ceux qui l’avaient kidnappé ont des informateurs à la DCPJ, la direction policière entend poursuivre Joana via Interpol pour diffamation.
Kidnappée depuis janvier 2021, ce n’est que 9 mois après que la DCPJ informe que la victime avait simulé son enlèvement à des fins personnelles, et se rendre en terre étrangère avec ses deux enfants.
Dans la presse locale, l’inspectrice divisionnaire et porte-parole de l’institution policière, Marie Michelle Verrier, a informé que « la DCPJ en tant qu’entité chargée d’enquêter sur des dossiers, ne peut en aucun cas révéler voire partager ses informations recueillies de [et avec] quiconque.
« En plus, suite au fait, elle [Joana] était venue à la DCPJ pour faire une demande de certificat aux responsables afin qu’elle puisse faire une demande d’asile », a révélé la porte-parole.
Suite à son enlèvement en fin janvier 2021, Joana Dorceus avait été libéré apparemment par ses ravisseurs contre rançon. La chanteuse et mère de deux enfants a révélé sur les ondes de Magic 9, qu’après sa séquestration par les bandits elle avait été entendue par les enquêteurs de la police judiciaire, mais quelques jours après ses ravisseurs l’ont appelé pour l’informer du contenu de sa collaboration avec la DCPJ.
Selon Marie Michelle Verrier, Joana Dorceus veut salir l’image de ladite institution pour avoir l’attention de l’opinion publique ou pour d’autres fins.