Aujourd’hui plusieurs artères de la cité de Wilson Jeudy, maire de la commune de Delmas, sont réputées pour être des zones de conflits, ou gangrenées par des voleurs. Le cas des Delmas 75, 18, 19, 16, 4 et 2, entre autres, où l’insécurité gagnent du terrain à grand pas notamment avec les bandits qui affrontent la police locale avec “élégance” et quiétude.
Devrait-on craindre que Delmas devienne une zone de “non-droit” ? Voilà une question qui inquiète. Limitrophe de plusieurs zones de conflits, la santé de la commune de Delmas semble s’aggraver avec la prolifération des gangs et l’itinéraire (et bastion) de certains mouvements politiques.
Après avoir été pris pour parcours de manifestations par certains personnalités politiques, civiles ou religieuses, les rues de cette municipalité semblent être de plus en plus infectées par la fragilité. Une situation qui inquiète. Sommes-nous en train d’assister à la naissance d’un petit frère des quartiers de Bel-Air, de La Saline, de Cité Soleil ou encore de Martisssant ?