L’insécurité, désormais, est une affaire commune. Sur le territoire haïtien, les hommes armés font la loi, ils décident de tous depuis quelque temps.
Si l’initiative ”Peyi lòk”, lancée par plusieurs franges de l’opposition (politique), était d’ordre majeur, l’insécurité, dont l’origine reste inconnue, surpasse pour sa part cette croyance et s’installe en suprématie.
”Les assassins dominent. Vivre ou mourir dépendent d’eux”.
”Ils s’installent en maître et seigneur au pays (…). Ils sont les ”DIEUX” de la terreur”.
”Qui sont-ils, le diable incarné. Au secours, mais à qui ?”, ce sont les quelques miettes avis de citoyens de la capitale, qui partagent presque les mêmes opinions sur ce manque de sûreté dans les rues d’Haïti.
En rappel, face à cette hausse de violence constatée à Port-au-Prince et ses environs depuis plusieurs semaines, nulle personne n’est épargnée !
La justice haïtienne réclame JUSTICE pour ses victimes face à des policiers .es, eux-mêmes au rang des victimes, dénonçant l’insécurité grandissante imposée par des sans aveu.
Pooshy ROSANA