Plusieurs stations-service de la capitale, Port-au-Prince, connaissent depuis dimanche une sèche. Des files de personnes, dont des chauffeurs (motocyclette et voiture), gallon en main, tente de s’approvisionner en essence.
La situation reste jusqu’ici inchangée dans d’autres communes, notamment à Tabarre et à Croix-des-Bouquets, ce qui a causé la fermeture de plusieurs postes d’approvisionnement en essence.
Cette pénurie (forcée) est liée à l’insécurité qui gangrène l’entrée Sud de Port-au-Prince, il est impossible aux distributeurs de produits pétroliers d’approvisionner les stations.
À noter que les prix de vente du carburant ont été vus à la hausse, soit de 500 gourdes à 750 gourdes; les chauffeurs de transport en commun ont augmenté le coût de leur service.