La structure politique “Nou Pap Konplis” a tiré la sonnette d’alarme sur la nécessité des acteurs politiques –du pouvoir et de l’opposition– d’entamer un dialogue. Un changement de ton enclenché après avoir emprunté toutes les voies pour exiger la démission de Jovenel Moïse à la magistrature suprême de l’État.
« Nous avions déjà tout essayé. Manifestations, sit-in, grèves mais Jovenel Moïse est toujours au Palais national, et c’est grâce au support de la Communauté internationale », s’est plaint Ricardo Fleuridor.
Toutefois le petro-challenger –qui avance « qu’un démocrate ne peut s’opposer au dialogue »– suggère qu’il faudrait établir une feuille de route pour tracer les différents points qui seront sur la table des discussions.
Pooshy Rosana